Les propos du chef de l’Etat Evariste Ndayishimiye quand il a qualifié de criminels les victimes des disparitions forcées au Burundi sont révoltants. Estime le député Agathon Rwasa, président du parti de l’opposition Conseil National pour la Liberté (CNL). Le chef de l’Etat a tenu ces propos la semaine dernière au cours de son entretien avec les journalistes de la Radio France Internationale (RFI). Agathon Rwasa indique que les propos du président Burundais cachent mal son cynisme envers les familles des victimes de ces disparitions forcées au Burundi.
Droits humains
22 juillet 2021