Les lois burundaises sont faites pour verrouiller sérieusement l’espace des libertés civiles et politiques garanties pourtant par la Constitution nationale. C’est cela qui justifie une étude qui a été initiée par un consortium de trois organisations de la société civile burundaise en exil : FOCODE, COSOME et SOS-Torture. Ces dernières regrettent qu’en plus des lois liberticides révisées surtout en 2016 pour soumettre les Burundais au monopartisme, les régulateurs apparaissent avec deux casquettes incompatibles, ils sont juges et partie.

• Twitter
• Facebook
• LinkedIn
• Pinterest
• E-mail
• WhatsApp