Le manque de carburant, la chute du franc burundais, ou encore la cherté de la vie : ce sont, entre autres, des préoccupations que les évêques du Burundi ont soumises au chef de l’État. C’était mardi, au cours d’une audience qu’Évariste Ndayishimiye leur avait accordée. Monseigneur Bonaventure Nahimana, président de la Conférence des évêques catholiques du Burundi, indique que leur démarche est dictée par leur volonté de participer au développement du pays.
Economie
14 août 2024