Le 30 août, c’était la journée internationale dédiée aux victimes des disparitions forcées. Au Burundi, au moins 81 personnes ont été portées disparues durant les deux années de règne du président Evariste Ndayishimiye. Bilan dressé par la campagne Ndondeza du Forum pour la conscience et le développement. Dans une lettre adressée au président Evariste Ndayishimiye, le FOCODE fait remarquer que le nombre de victimes a augmenté de 38 pourcent par rapport aux deux dernières années de pouvoir de Pierre Nkurunziza.
Droits humains
31 août 2022