Le gouvernement ne montre aucune volonté de sanctionner les corrompus et les auteurs des détournements de fonds. C’est le constat de Faustin Ndikumana, directeur national de la PARCEM. Selon lui, il est donc normal que les autorités au plus haut niveau soient soupçonnées d’être impliquées dans ces malversations. Faustin Ndikumana le dit à la suite de récents propos d’Evariste Ndayishimiye qui se plaignait que le FMI ait dénoncé une corruption qui s’observe jusque dans les sphères du pouvoir.

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