Qu’il se taise ou qu’il parle, le gouvernement burundais devra un jour répondre des crimes que ses militaires sont en train de commettre en République Démocratique du Congo. C’est un avertissement de Vital Nshimirimana, le délégué général du Forum pour le renforcement de la société civile (FORSC) pour qui les autorités burundaises piétinent aussi bien la constitution burundaise et le droit international en attaquant leur voisin. Vital Nshimirimana joint ainsi sa voix au député congolais qui a récemment adressé une lettre au secrétaire général de l’ONU pour protester contre les attaques de la FDNB sur le sol congolais.
Droits humains
5 février 2022
