Au moins 162 personnes ont été tuées, 9 autres torturées et 64 arrêtées arbitrairement. Ces chiffres figurent dans le dernier rapport trimestriel de la Ligue Iteka, couvrant les mois d’avril, mai et juin 2024. Selon Egide Havugiyaremye, chargé de la communication au sein de la Ligue Iteka, des membres de la milice Imbonerakure, des administratifs, des agents du SNR, des militaires et des policiers sont pointés du doigt comme étant les présumés auteurs de la plupart de ces violations des droits humains.
Droits humains
12 juillet 2024
