L’affirmation du président de la République que le Burundi ne peut pas être poursuivi par la Cour pénale internationale, parce que le pays ne fait plus partie du statut de Rome, est juste un simple discours politique. C’est une analyse du président de Coalition burundaise pour la CPI. Me Lambert Nigarura rappelle que le retrait du Burundi n’affecte en rien les enquêtes engagées par cette cour depuis le 26 avril 2015 jusqu’au 27 octobre 2017 avant que le retrait prenne effet.