Pour avoir des devises en quantité suffisante, le Burundi devrait renforcer les liens de partenariat avec ses bailleurs de fonds. Point de vue de Faustin Ndikumana, directeur national de l’organisation Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités. Il l’a dit au cours d’un atelier de réflexion sur ce qui devrait être fait pour développer le Burundi. Le président de la PARCEM estime que le paiement de la dette, qui est de plus de 5 mille milliards de francs burundais actuellement, serait l’une des façons de soigner l’image du pays aux yeux de ses partenaires.
Coopération
7 juillet 2023