L’ONG locale PARCEM a réalisé une analyse sur le projet de budget de l’État pour l’exercice 2024-2025. L’organisation constate que ce budget est destiné à plus de 90 % au fonctionnement, au détriment des investissements publics et privés intérieurs. Faustin Ndikumana, directeur national de la PARCEM, regrette que les investissements publics prioritaires, comme la production agricole, la construction des routes et autres infrastructures, aient été relégués au second plan. Pour l’ONG PARCEM, le budget de l’État devrait absolument tenir compte des besoins de la population.
Economie
18 juin 2024