Si la sécurité était garantie pour tous au Burundi, ceux qui sont en exil rentreraient d’eux-mêmes. Affirme Frédéric Bamvuginyumvira, l’opposant politique en exil. Il réagissait à la requête du chef de l’Etat selon laquelle les pays occidentaux ne devraient plus accorder l’asile aux réfugiés burundais. Il a exprimé ce souhait à l’occasion de la célébration du 60ème anniversaire de l’indépendance. Frédéric Bamvuginyumvira rappelle au numéro un burundais que ce sont les crimes qui persistent au Burundi qui contraignent les gens à fuir.
Journal
7 juillet 2022