Le gouvernement burundais devrait suivre de près la nouvelle société pétrolière pour que la corruption et la mauvaise gouvernance devenues généralisées dans les sociétés publiques soient évitées. Un appel contenu dans un communiqué de l’organisation non-gouvernementale Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités. Faustin Ndikumana, directeur national de la PARCEM, conseille à l’Etat d’intéresser les investisseurs privés pour qu’ils amènent leurs capitaux dans le secteur pétrolier.
Commerce
20 mars 2024