Le Burundi n’a jamais fait de progrès économiques remarquables depuis son indépendance. C’est le constat de l’ONG Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités (PARCEM). Faustin Ndikumana, président de cette organisation, justifie ce bilan négatif par les crises politiques que le pays a connues au cours des 60 ans écoulés. Pour décoller l’économie du pays, la PARCEM propose dix recommandations au gouvernement burundais. Et parmi ces dernières, figurent entre autres la cohésion politique nationale en passant par le respect de l’accord d’Arusha sans oublier la mise en place des stratégies économiques claires.
Economie
1 juillet 2022