Si les autorités burundaises veulent atteindre leur vision 2040-2060, elles doivent renouer de bonnes relations avec les bailleurs de fonds. C’est l’appel lancé par l’ONG locale Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités, c’était ce mercredi lors d’un atelier de réflexion. Faustin Ndikumana, directeur national de la PARCEM, précise que le Burundi fait face à une dette extérieure et intérieure de plus de 5 mille milliards de francs burundais. Selon lui, il n’y a pas d’autres moyens possibles pour relever l’économie burundaise. Par ailleurs, les fonctionnaires sont appelés à produire suffisamment pour appuyer le gouvernement.
Economie
5 juillet 2023