Economie
2 juillet 2022

La transparence budgétaire reste à désirer au Burundi, le gouvernement devrait corriger ce défi

Il faut d’abord un débat entre les intervenants dans la vie du pays pour élaborer un programme à exécuter avant de parler de la somme du budget. C’est ce qu’indique l’invité du magazine « Défis de chez nous », Faustin Ndikumana, Directeur national de l’ONG Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités (PARCEM). Pour luiLa répartition du budget dans différents ministères devrait se baser sur le plan de chaque ministère avant de déterminer la somme, Faustin Ndikumana donne l’exemple du ministère des Infrastructures qui a eu beaucoup d’argent sans qu’il y ait eu un programme du ministère.