La révision de la loi sur les réunions et les manifestations publiques. Voilà ce que souhaite la société civile. Me Armel Niyongere, secrétaire général de SOS-Torture, un des membres du consortium partenaire dans cette synergie, recommande particulièrement le renforcement des capacités des forces de l’ordre et des administratifs sur ce sujet. Mais il lance aussi un appel à la Commission nationale des droits de l’homme, à la justice et aux partenaires du Burundi à jouer chacun son rôle pour que ce droit soit une réalité.
Droits humains
30 septembre 2023