Droits humains
12 janvier 2023

La police burundaise a opté pour le silence sur les cas d’assassinats et de disparitions forcées

La police s’efforce de dévoiler les identités des criminels qui font le vol d’escroquerie, mais pour des crimes de sang elle opte de faire silence radio. Regret de Faustin Ndikumana, directeur national de l’organisation Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités, lors d’un point de presse du mercredi 11 janvier. Il était en train de présenter le rapport d’analyse de la situation de gouvernance de 2022. Le directeur national de la PARCEM estime qu’au Burundi, actuellement les citoyens développent un réflexe de porter atteinte à la vie des autres même pour des cas de conflits mineurs.