A l’occasion de la Journée mondiale de la démocratie, ce 15 septembre, l’ONG locale Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités constate que les principes démocratiques ne sont pas respectés au Burundi. Faustin Ndikumana, directeur national de la PARCEM, explique cet état de fait notamment par l’absence de considération du mérite et de la compétence dans l’octroi des postes, le manque de transparence dans la gestion de la chose publique, l’intolérance politique, l’impunité et la politisation de la société. Faustin Ndikumana appelle les partis politiques à changer de comportement, en mettant en avant l’intérêt supérieur de toute la population.
Journal
15 septembre 2023
