Développement
6 février 2024

La PARCEM souligne l’impact des crises cycliques sur l’économie burundaise et sur l’unité

Les crises cycliques sont la cause principale du marasme économique dans lequel le Burundi est plongé. Il ne peut y avoir d’unité nationale tant que cette situation ne change pas, selon le constat de l’ONG Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités. La PARCEM s’exprime à l’occasion de ce 5 février consacré à l’Unité nationale. Faustin Ndikumana, directeur national de cette ONG, rappelle l’effet néfaste sur l’économie des graves crises que le pays a connues et propose de reconsidérer des documents aussi importants que la Charte de l’Unité nationale et l’Accord d’Arusha comme conditions pour asseoir l’unité au Burundi.