Le fonctionnement de l’ANAGESSA préoccupe l’ONG locale PARCEM. L’organisation constate d’énormes retards de l’ANAGESSA dans le paiement des arriérés aux producteurs qui lui ont vendu leur récolte. L’ONG PARCEM pense que cela est dû au fait que l’ANAGESSA ne dispose pas des statistiques nécessaires sur l’état de la production agricole et sur les besoins alimentaires de la population. Elle estime aussi qu’il lui manque des moyens techniques et financiers pour faire correctement son travail. Faustin Ndikumana, directeur national de la PARCEM, demande à l’ANAGESSA de tout faire pour que la récolte des producteurs soit bien sécurisée et au gouvernement de permettre la compétition dans l’achat des récoltes.
Agriculture
30 juillet 2024