L’organisation PARCEM salue la mesure de la Banque de la République du Burundi prise ce Mardi, arrêtant toute transaction, contrat ou paiement des biens et services en devises sur le territoire burundais. Selon Faustin Ndikumana, président de la PARCEM, la décision tient sur le rôle que la monnaie du Burundi doit jouer pour éviter ce qui s’est passé au Zaïre ou au Zimbabwe où leur monnaie locale a été remplacée par les devises.
Economie
15 juillet 2021