La levée des sanctions de l’Union européenne contre le Burundi ne devrait pas faire croire au gouvernement du Burundi qu’il a le feu vert de continuer sa politique de persécution envers l’opposition. Propos d’Emmanuel Nkengurutse, porte-parole du parti UPRONA de l’opposition. Il estime que les autorités burundaises restent tenues à l’obligation de respecter les droits de l’homme comme garanti par la Constitution.
Droits humains
15 février 2022