La disparition forcée reste l’une des formes des crimes graves commis au Burundi par des agents de l’Etat avec la complicité des hautes autorités du pays. C’est ce qu’indique Pacifique Nininahazwe, coordonnateur de la campagne Ndondeza. Il l’a dit ce 30 août où le monde entier célèbre la journée dédiée aux victimes des disparitions forcées. Pacifique Nininahazwe rappelle des cas récents de disparitions forcées sans aucune dénonciation de la Commission nationale indépendante des droits de l’homme. Et cela se passe également malgré la promesse du chef de l’Etat de châtier les auteurs de ce crime odieux.