Il y a toujours des questions cruciales dans la lutte contre la corruption et les malversations économiques au Burundi. C’est ce qu’indique Faustin Ndikumana, président de l’ONG Parole et Actions pour le Réveil des Consciences et l’Evolution des Mentalités (PARCEM). C’était lors d’un point de presse de ce vendredi. Faustin Ndikumana s’appuie sur des dossiers qui ne sont pas poursuivis par la justice. L’exemple récent est celui de la construction du barrage Kajeke. Selon lui, il devrait y avoir une commission indépendante pour faire des enquêtes approfondies et traduire en justice les auteurs de ce forfait.