La violation des droits humains se poursuit au Burundi alors que l’échéance électorale de 2025 approche. C’est le contenu du 72ᵉ bulletin de justice de l’organisation SOS-Torture Burundi. Denis Ndayishemeze, chargé de la communication de cette organisation, demande aux autorités de l’État de prendre des mesures d’ouverture politique et d’accepter un dialogue avec tous les acteurs politiques. SOS-Torture estime que cette attitude permettra un développement durable du Burundi.
Amakuru
9 août 2024