Le Burundi reste derrière en ce qui concerne la transparence dans le budget de l’Etat, et cela rend difficile le développement du pays. Constat de Faustin Ndikumana, président de l’organisation Parole et action pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités (PARCEM). C’était lors du lancement du programme « Notre argent, notre droit » ce mercredi. Faustin Ndikumana propose huit étapes à suivre pour qu’il y ait transparence budgétaire. C’est entre autres la révision budgétaire et la présentation des rapports trimestriels.
Economie
26 mai 2022