Les assassinats, la haine, la discrimination, l’exil, et la mauvaise gouvernance, qui se manifestent dans le pays. Il s’agit de certains des facteurs qui ont poussé les organisations politiques engagées au sein du cadre d’Action pour la réhabilitation de l’Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation au Burundi, à adresser une correspondance aux garants et amis de l’Accord d’Arusha pour solliciter leur contribution pour sa réhabilitation. L’un des signataires, Léonce Ngendakumana, ancien président de l’Assemblée nationale, rappelle que l’Accord d’Arusha avait créé des conditions visant à unir et réconcilier les Burundais, d’où son appel à sa réhabilitation.

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