Droits humains
30 août 2023

Des organisations de défense des droits humains plaident pour la libération de Floriane Irangabiye

La journaliste burundaise Floriane Irangabiye est victime de son métier, elle n’a commis aucune infraction qui devrait lui coûter une lourde peine d’emprisonnement de 10 ans. C’est ce que regrettent les organisations des droits humains Human Rights Watch, Initiative pour les droits humains au Burundi, Amnesty International et Comité pour la protection des journalistes, à travers un communiqué conjoint qu’elles ont rendu public ce 30 août, soit un an jour pour jour après l’arrestation et l’emprisonnement de Floriane Irangabiye. Au nom de ces organisations, Rachel Nicholson, chercheuse au sein d’Amnesty International, demande à la justice burundaise de libérer cette journaliste et de corriger toutes les erreurs que contient son dossier.