Le chômage des jeunes dans les milieux urbains et le manque de terres cultivables pour les agriculteurs en milieux ruraux sont les principales causes de la pauvreté au Burundi. C’est ce qui ressort du rapport de l’Institut de statistiques et d’études économiques du Burundi, publié fin de la semaine dernière. Cette enquête a été menée fin 2019 dans plus de 8 mille ménages échantillons dans toutes les provinces du pays. Nicolas Ndayishimiye, Directeur général de l’ISTEEBU, indique que ces statistiques restent la référence chaque fois que le gouvernement envisage des réformes.
Economie
5 juillet 2022