À l’approche des élections de 2025 au Burundi, une polémique enfle autour de leur financement. Le parti au pouvoir, le CNDD-FDD, parcourt le pays en quête de contributions, sollicitant une somme allant jusqu’à 2000 francs burundais par foyer, selon les témoignages recueillis à travers le pays. Cette démarche, qui semble systématique, contraste avec les déclarations du président de la République, qui assure du caractère volontaire de ces dons.

Quelle est la réalité sur le terrain ?

Comment cette situation affecte-t-elle la perception du processus électoral ?