Ce n’est pas à la population de rendre des comptes sur des cas de fraude et d’exploitation anarchique des minerais de la commune Kabarore. C’est la réaction de Faustin Ndikumana, directeur national de L’ONG Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités (PARCEM), après que le chef de l’Etat a accusé cette population de fraude de minerais. Il précise qu’il y a des institutions étatiques qui sont payées pour faire ce travail. Faustin Ndikumana parle de l’administration, de la police et du service qui s’occupe de l’octroi des permis d’exploitation de minerais.
Economie
5 décembre 2022