Les assassinats et les disparitions forcées sont restés une réalité au Burundi au cours de cette première année de gouvernance du président Evariste Ndayishimiye. C’est l’avis du parti politique de l’opposition Mouvement pour la Solidarité et le Développement (MSD). Epitace Nshimirimana, porte-parole de ce parti, regrette qu’aucun domaine de la vie du pays n’ait connu de progrès. Il indique par contre que son parti MSD n’a pas été surpris car il n’attendait rien de la part du président Ndayishimiye.
Droits humains
29 juin 2021