La langue française tend à disparaitre au Burundi suite à la mauvaise planification scolaire. D’autre part, parce que beaucoup de dignitaires burundais ne la parlent pas correctement, ils préfèrent la faire disparaitre. C’est un constat amer de Libérat Ntibashirakandi, qui suit de près les questions liées à l’éducation au Burundi. Il l’a dit à l’occasion de la Journée internationale dédiée à la Francophonie célébrée le 20 mars de chaque année. Aujourd’hui, il constate que dans certains pays, des représentants du Burundi ternissent l’image du pays par la piètre qualité de leur français quand ils s’expriment. Les autorités burundaises devraient ne pas sacrifier le pays au profit de ces personnes haut placées qui veulent couvrir leurs lacunes en supprimant la langue de Molière.
Education
20 mars 2023