L’agriculture et l’élevage ne peuvent pas suffire pour relever l’économie burundaise. C’est ce que fait remarquer Faustin Ndikumana, président de l’ONG Parole et Actions pour le Réveil des Consciences et l’Evolution des Mentalités (PARCEM). Il l’a dit lors d’un point de presse de ce mardi lorsqu’il était en train de présenter le bilan annuel de 2021 sur la situation économique du pays. C’est au moment où les prix des produits de première nécessité augmentent du jour au jour au Burundi. Faustin Ndikumana trouve que l’économie du pays peut s’améliorer en s’appuyant sur d’autres secteurs.
Economie
6 janvier 2022