Droits humains
31 décembre 2021

La reconnaissance du crime de disparition forcée, un moyen d’intéresser les bailleurs

La confirmation de l’existence des disparitions forcées au Burundi par Evariste Ndayishimiye, est une façon de faire les yeux doux à la communauté Internationale afin que les sanctions prises contre le Burundi soient levées. C’est l’analyse de Jérémie Minani, président du parti de l’opposition RDB. Jérémie Minani fait savoir que le président de la République n’a pas la volonté d’arrêter ces crimes, puisque les auteurs sont nommés par la suite dans d’autres fonctions importantes.