Le secteur privé ne peut pas se développer parce qu’il est négligé. Propos de Faustin Ndikumana, président de la PARCEM. La discrimination, les critères subjectifs dans l’attribution des marchés, le manque de l’énergie, la corruption, les lois qui ne protègent pas les droits de propriété, sont entre autres les handicaps majeurs qui bloquent le développement du secteur privé. Dans une conférence de presse animée ce jeudi, Faustin Ndikumana a demandé à l’administration de s’impliquer pour attirer les investisseurs si le pays veut réellement sortir de la pauvreté.
Economie
11 novembre 2021