Face aux disparitions forcées, le mouvement MAP-Burundi Buhire regrette que le pouvoir d’Evariste Ndayishimiye n’ait rien appris des erreurs de son successeur feu Pierre Nkurunziza. Pour Emery Pacifique Igiraneza, président de ce mouvement, le silence des institutions de l’Etat face à ces crimes prouve que ces institutions sont au courant des auteurs de ces crimes. Les Burundais devraient donc se rendre compte que le gouvernement n’est plus capable de les protéger.
Droits humains
9 novembre 2021