La Tanzanie est en train de violer la convention internationale de Genève de 1951 qui régit les réfugiés. Léopold Sharangabo, vice-président de la coalition burundaise des défenseurs des droits de l’homme vivant dans des camps des réfugiés (CBDH/VICAR), précise que l’article 33 de cette convention stipule qu’aucun pays en charge des réfugiés ne doit les rapatrier par force. Cette déclaration intervient après que l’inspecteur Général chargé des réfugiés ait annoncé la semaine dernière que la communauté internationale ne peut pas les empêcher d’expulser les réfugiés burundais.
Droits humains
29 octobre 2021
