170 personnes ont été tuées, 12 portées disparues, 22 femmes et filles violées, 11 personnes torturées et 103 autres arrêtées arbitrairement. Ces chiffres figurent dans le rapport trimestriel de la Ligue Iteka, comme le précise Anschaire Nikoyagize, président de cette organisation de défense des Droits de l’Homme. La ligue Iteka indique également que les cadavres retrouvés sont enterrés à la hâte par les administratifs à la base sans la moindre enquête afin de connaître les mobiles de ces assassinats.
Droits humains
6 juillet 2021