Tant que le Bureau burundais de normalisation et de contrôle de la qualité ne sera pas doté de moyens matériels, humains et financiers suffisants répondant aux standards internationaux, ni d’un fonctionnement institutionnel cohérent, il aura toujours des difficultés à bien remplir sa mission. C’est le constat de Faustin Ndikumana, directeur national de la PARCEM. Cette déclaration intervient après que le gouvernement a pris la mesure de suspendre la commercialisation de la boisson SAPOR. Faustin Ndikumana indique également que certaines autorités du pays exercent des pressions sur le BBN pour qu’il délivre des autorisations d’entrée à des marchandises qui ne respectent pas les normes.
Commerce
19 juillet 2024