Ce n’est pas la faute de Nkurunziza ou de Ndayishimiye si le Burundi se trouve dans la situation actuelle, c’est la nôtre, parce que nous l’avons accepté. Ce reproche est formulé par Alexis Sinduhije, président du parti MSD. Il l’a dit à la veille des quatre ans de pouvoir d’Evariste Ndayishimiye. Selon Alexis Sinduhije, il avait déjà été prévenu des possibles méfaits dramatiques dont Ndayishimiye était capable, encore plus graves que ceux de Nkurunziza.
Economie
18 juin 2024