Les crises cycliques sont la cause principale du marasme économique dans lequel le Burundi est plongé. Il ne peut y avoir d’unité nationale tant que cette situation ne change pas, selon le constat de l’ONG Parole et actions pour le réveil des consciences et l’évolution des mentalités. La PARCEM s’exprime à l’occasion de ce 5 février consacré à l’Unité nationale. Faustin Ndikumana, directeur national de cette ONG, rappelle l’effet néfaste sur l’économie des graves crises que le pays a connues et propose de reconsidérer des documents aussi importants que la Charte de l’Unité nationale et l’Accord d’Arusha comme conditions pour asseoir l’unité au Burundi.
Développement
6 février 2024