Le Burundi a besoin d’un gouvernement de technocrates capables de faire face aux défis majeurs de développement, de bonne gouvernance et de justice. C’est le constat de Faustin Ndikumana, directeur national de l’ONG locale PARCEM. Il réagit ainsi au remaniement ministériel survenu mardi où quatre nouveaux membres du gouvernement ont été nommés. Pour Faustin Ndikumana, un bon changement des ministres est celui qui s’inscrit dans un nouvel ordre de bonne gouvernance et dans un principe de résultats.
Economie
6 octobre 2023