Le gouvernement du Burundi regrette que ses efforts au développement des citoyens ne soient pas appuyés comme il le fallait par les bailleurs de fonds traditionnels. Gitega accuse ces organisations de privilégier les organisations non-étatiques qui travaillent directement avec la population.
Doit-on passer nécessairement par l’aide publique au développement pour aider au développement de la population ?
Pourquoi certains bailleurs préfèrent-ils financer les organisations non-gouvernementales ?