Huit personnes ont été assassinées, vingt-cinq arrêtées arbitrairement, une portée disparue, tandis qu’une autre a été victime des violences sexuelles et basées sur le genre. Ces chiffres figurent dans le dernier rapport hebdomadaire de la Ligue Iteka. Célestin Ruribikiye, chargé de la communication au sein de cette organisation, indique que ceux qui commettent ces crimes sont des agents du renseignement, certains policiers ainsi que des Imbonerakure. Célestin Ruribikiye demande au gouvernement de poursuivre en justice les auteurs de ces crimes.
Droits humains
31 mars 2022