Au moins 6 personnes ont été tuées, 3 torturées, 1 arrêtée arbitrairement. Tous ces chiffres se trouvent dans le rapport hebdomadaire de l’organisation des droits de l’homme Iteka. Selon Emmanuel Nibizi, vice-président de la Ligue Iteka, ce rapport révèle aussi 5 femmes violées et 1 personne portée disparue. La Ligue Iteka précise que les auteurs de ces crimes se trouvent principalement parmi les Imbonerakure, les militaires, la police et les agents du Service national des renseignements.