Cinq personnes ont été assassinées, trois arrêtées arbitrairement, une torturée et sept autres ont été victimes des violences sexuelles basées sur le genre. Ces chiffres figurent dans le dernier rapport hebdomadaire de la Ligue Iteka. Egide Havugiyaremye, chargé principal de la communication au sein de la Ligue Iteka, indique que ceux qui commettent ces forfaits sont des agents du renseignement, certains policiers ainsi que des Imbonerakure. Egide Havugiyaremye demande au gouvernement de poursuivre en justice les auteurs de ces crimes.
Droits humains
2 février 2022